ROMEO ET JULIETTE DIFFUSION


 

Bande annonce et interview de

Manon Montel metteur en scène

durée 3min

 

Analyse de Christophe Barbier (L'Express), Thierry Fréret (Cnews), François Laroque (professeur émérite, spécialiste de Shakespeare)

 

Captation intégrale du spectacle

 

durée 1h30


 

6 artistes pluridisciplinaires  : accordéon, violoncelle, guitare, combat, chorégraphie, chant

1 régisseur de tournée

2 services de 4h de montage + une préimplantation

 

1h30 de spectacle

tout public

public scolaire à partir de la 4ème. 


ou directement à manon.montel@wanadoo.fr 06.07.11.09.72

L'avis de la presse


« Adaptation bouleversante, toute de fougue et de passion. De magnifiques lumières et la musique, omniprésente doublure du texte, participent du charme puissant du spectacle. Le violoncelle de Jean-Baptiste Des Boscs est un atout maître, notamment dans un ultime tableau, déchirant et magnifique. » Christophe Barbier       

"Moment de grâce lorsque le beau Roméo et la fragile Juliette dansent leur amour. De la scène du balcon, où les deux amants se déclarent leur flamme, à celle du caveau, où ils se donnent la mort, l’essentiel est intact."

« La passion et le naufrage des amoureux emportent le tout, par l’élégance et la sobriété de la mise en scène. Manon Montel tire du classique de Shakespeare une morale quasi-bovaryste : un véritable moment de grâce. »

« Les flashbacks, combat et duo dansé renforcent l’image de légende des amoureux. »

« Une très belle réinterprétation d’un classique des classiques ! »


"La saison dernière, Manon Montel a monté au Lucernaire une version des Misérables arrangée à la manière des têtes réduites des Jivaro, mais si maligne que Victor Hugo lui-même n’eût pas crié à la trahison. Elle remet ça avec un Roméo et Juliette d’une heure trente, défendu par six comédiens. Du drame initial ne subsistent que les amoureux, Tybalt, Mercutio, la Nourrice et Frère Laurent. Or la pièce n’en pâtit pas. Mieux, l’écorché ici présenté en fait mieux goûter la poésie. Même la traduction qui se coule dans tous les tons de Shakespeare, de la fraîcheur virginale de Juliette aux obscénités de Mercutio, mérite compliment." Jacques Nerson